Chers Jeunes chevaliers des Temps Nouveaux,

Le gardien du phare

De sa passerelle, il veille les bateaux sur la mer,

Veille à la pureté de la Lumière.

Il nettoie chaque jour la lentille, les disques de verre qui renvoient la Lumière, pour qu’aucune poussière, aucune impureté ne crée un ombre sur la mer.

De sa passerelle il mesure le Rayon de Lumière à son éclat sur les flots.

La Lumière a pouvoir de révéler l’ombre, d’avertir les marins sur la voie.

Le gardien du phare est poète, il éclaire le monde de ses pensées d’Amour, prend soin de faire briller la lentille : l’œil de Lumière sur la mer.

 

Mais aujourd’hui, le gardien de phare reste à quai. Le phare est une machine sans homme, autonome, et personne n’est là, à chaque aube, pour que la lentille brille sans ombre sur la mer. Il n’y a plus une main d’homme pour faire briller la lentille tous les jours et les oiseaux viennent s’y cogner. Voilà où en est le monde…

 

Alors Jeunes chevaliers des Temps Nouveaux, nous sommes tous gardiens des phares du monde, quand nous éclairons le monde par la Lumière du Cœur.

L’Epée, l’Amour de Christ, notre Respiration dans la maison divine : et de là notre Cœur de Lumière éclaire la Terre et les mers.

Le plus grand phare du monde : c’est notre Maison divine : le Soleil au-dessus du Mont Billat. Christ y est présent avec tous les Maîtres. Grandissons la Lumière du Phare !

Eve et moi vous aimons, SyL, 17.12.2014